L’hiver cumule les facteurs à même d’entamer notre résistance: chute des températures, manque de lumière, promiscuité. Conséquence: les virus se transmettent bien plus aisément, ciblant en priorité les voies respiratoires, leur porte d’entrée dans l’organisme.
Gorge douloureuse, difficulté à déglutir, fièvre… Aucun doute: il s’agit très probablement d’une angine. Bactérienne ou virale, elle peut s’avérer particulièrement pénible si elle n’est pas soignée à temps. Le Docteur Thierry Mach nous rappelle quelques gestes préventifs et les traitements adaptés.
Rhume, bronchite, grippe, gastroentérite… Nous sommes nombreux à subir l’une ou plusieurs de ces infections saisonnières. Notamment parmi ceux qui côtoient quotidiennement la foule, dans les transports ou sur leur lieu de travail. Toutefois, en adoptant de bons réflexes, il est possible d’accélérer la guérison, voire d’éviter complètement la contamination.
La résistance des bactéries aux antibiotiques est un défi majeur de santé publique à l’échelle mondiale. Même si la situation en Suisse est globalement meilleure que dans le reste de l’Europe, elle n’échappe pas à la tendance. Des infections auparavant banales et bénignes deviennent problématiques du fait que les traitements connus deviennent impuissants face aux bactéries mises en cause. Le phénomène est d’autant plus lourd de conséquences en milieu hospitalier.
Il y a moins de 100 ans, le chercheur écossais Flemming découvrait par hasard les propriétés antibactériennes d’une moisissure connue sous le nom de penicillium notatum. C’est le début d’un des plus grands succès de la médecine moderne: les antibiotiques. Une réussite aujourd’hui remise en cause par la problématique de la résistance.
En 2017, Pharmacie Populaire et l’association Rêves Suisse ont marché côte à côte pour offrir du bonheur à des enfants souffrant de handicap ou gravement malades. Une aventure magique et émouvante dont voici les meilleurs moments:
Passer l’hiver en pleine forme, ça ne s’improvise pas! La saison froide met à rude épreuve notre résistance: pour lutter contre les frimas, le manque de lumière et les virus, l’organisme doit disposer de toutes ses facultés. Sans vitalité, on se retrouve vite alité. Heureusement, des parades existent.
Venus spécialement à Genève pour féliciter l’ICAN (la Campagne internationale pour l’abolition des armes nucléaires), lauréate du prix Nobel de la paix, le Père et la Mère Noël – pour qui la santé n’a pas de prix – ont accepté de nous consacrer quelques minutes de leur précieux temps pour répondre à nos questions.
Repas riches et abondants, course contre la montre, sédentarité… Entre Noël et la Saint-Sylvestre nous ne ménageons pas notre organisme, qui faiblit parfois face à tant d’excès. Pour conserver sa vitalité même en fin d’année, il suffit pourtant de respecter quelques conseils pratiques.
Les fêtes de fin d’année sont souvent prétexte au lâcher-prise. Entouré de ses proches, la gourmandise attisée par des mets d’exception, chacun laisse libre cours à ses envies. Mais parfois jusqu’à l’excès! Ce que l’organisme nous fait payer – sinon le jour même – dès le réveil du lendemain. Or, un organisme affaibli est plus vulnérable face aux infections hivernales. Mal de tête, crise de foie ou gueule de bois, Santé Mieux-Être rappelle ici quelques recommandations simples pour profiter des festivités sans abuser.
