Bon gré mal gré, la saison froide modifie nos comportements. Nous mangeons et nous habillons différemment, nous passons plus de temps à l’intérieur, nous pratiquons d’autres loisirs. Tous ces changements vont de paire avec certains risques, dont les conséquences économiques et sociales ne sont pas négligeables. Adoptez les bons réflexes!
Il était deux fois Noël au CARÉ
Le temps d’un repas, Pharmacie Populaire et le CARÉ s’unissent pour lutter contre la solitude, le rejet, l’exclusion, la marginalisation et toutes les formes de souffrances induites par la pauvreté. Leurs responsables respectifs expliquent comment l’augmentation de la précarité les motive à s’investir.
Précarité à Genève: les seniors de plus en plus concernés
Bien que la Suisse apparaisse à l’étranger comme un pays favorisé, il n’en reste pas moins que toute sa population n’est pas logée à la même enseigne. Les foyers monoparentaux, les personnes seules, sans formation post-obligatoire ou sans emploi, font partie des groupes les plus exposés à la précarité et à la pauvreté.
Une saison à haut risque
Comme tous les ans, l’hiver est là avec son lot de virus saisonniers que l’on essaie tant bien que mal d’éviter. Si une alimentation équilibrée et quelques règles d’hygiène suffisent généralement aux adultes en pleine forme pour passer outre ces petits aléas, ce n’est pas si simple pour tout le monde. Parce qu’ils sont particulièrement fragiles, les enfants en bas âge, les seniors, les femmes enceintes, les personnes immunodéprimées ou en situation précaire ont en effet plus de mal à combattre ces agents infectieux. Pour mieux protéger cette part de la population, il est de la responsabilité de tous de limiter la propagation des virus.
Agir concrètement contre l’indigence
L’augmentation des situations de «privation matérielle multiple», une expression pour désigner l’absence d’accès aux conditions élémentaires de vie, exige de réfléchir aux causes, pour les combattre. Elle nécessite aussi, en parallèle, une action matérielle sur le terrain.