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Quand la peau s’enflamme 🔥

La peau est le plus grand organe du corps humain. Elle nous protège des agressions extérieures, régule notre température et fournit au cerveau diverses informations sensorielles. Cependant, son fonctionnement peut être perturbé par des anomalies génétiques et certains facteurs environnementaux, provoquant des symptômes très pénibles. Dans cette newsletter, nous aborderons les maladies chroniques de la peau les plus courantes, dont souffrent près de 8% de la population adulte.


Quand la peau est à fleur de peau

En Suisse, environ 20% des enfants et 5% des adultes sont concernés par l’eczéma et 2 à 3% de la population sont atteints de psoriasis. Ces maladies de peau, dont les symptômes sont très désagréables et souvent peu esthétiques, peuvent entraîner de sévères complications physiques et psychiques. C’est pourquoi, il est important de les diagnostiquer et de les traiter au plus tôt.

La peau rougit, brûle, démange, suinte, desquame… Voilà les symptômes typiques des maladies inflammatoires et chroniques de la peau. Celles-ci reposent sur des facteurs génétiques et environnementaux. Elles impactent non seulement l’état cutané, mais aussi l’état psychique, la vie sociale et les activités quotidiennes des malades. Sans compter qu’elles peuvent aboutir à de sévères complications. Heureusement, des traitements existent!

Des démangeaisons dures à supporter
La dermatite atopique, aussi appelée «eczéma atopique», apparaît généralement dès la petite enfance, puis évolue ensuite par poussées. Le plus souvent, la maladie disparaît à l’adolescence, mais peut persister à l’âge adulte. Elle se manifeste par une sécheresse de la peau, des plaques rouges et d’intenses démangeaisons. Ce prurit est particulièrement pénible, notamment pour les enfants qui peinent à résister à la tentation de se gratter. Or, ceci ne fait qu’accentuer les démangeaisons! À la longue, s’ensuivent des suintements et la formation de croûtes. Outre leur aspect peu esthétique, ces lésions représentent un vrai risque d’infection. Chez le nourrisson, elles se situent essentiellement sur le cuir chevelu et les joues. Chez l’enfant plus âgé, elles touchent plutôt les bras et les jambes, puis les plis du corps. Des manifestations allergiques associées à la dermatite atopique peuvent survenir au cours de la vie. On estime que les enfants qui ont présenté un eczéma dans leur petite enfance ont un risque plus élevé de développer un asthme (dans 50% des cas) ou une rhinite allergique (dans 30% des cas).

Des complications douloureuses
Le psoriasis se caractérise, quant à lui, par des plaques rouges, couvertes de squames. Ces plaques sont généralement localisées au ni- veau des zones de frottement, du cuir chevelu,

des mains et des pieds. Elles peuvent être très étendues, couvrant plus de 10% de la surface corporelle dans les cas les plus sévères. Tout comme l’eczéma atopique, il progresse par poussées d’intensité variable. Dans 15 à 20% des cas, il s’accompagne d’inflammations douloureuses des articulations: on parle d’arthrite psoriasique.

Une réponse immunitaire inappropriée
L’eczéma atopique repose sur une anomalie génétique, provoquant un déficit en filaggrine – un composant majeur de la barrière cutanée. Ce déficit entraîne une sécheresse de la peau, ainsi qu’une perméabilité accrue, qui permet aux substances étrangères de pénétrer dans la peau. Celles-ci induisent alors une réponse immunitaire disproportionnée: les cellules immunitaires affluent dans l’épiderme et provoquent une inflammation (d’où les rougeurs). Le psoriasis est lui aussi dû à un dérèglement immunitaire. Au moins 30% des cas correspondent à des formes familiales. Plusieurs variants génétiques associés à la maladie ont déjà été identifiés; il s’agit majoritairement de gènes impliqués dans l’immunité. Suite à l’exposition à un facteur déclenchant (stress, choc émotionnel, infection, certains médicaments, fatigue, etc.), les cellules immunitaires convergent vers la peau. S’ensuivent une inflammation et une surproduction de kératinocytes – les cellules constituant 90% de l’épiderme. Parce qu’ils se renouvellent bien trop rapidement, des kératinocytes immatures s’accumulent à la surface de la peau: c’est l’hyperkératose, responsable des lamelles de peau blanche qui recouvrent les plaques rouges.

Des maladies chroniques, et non des allergies!
L’eczéma dit «de contact» est, quant à lui, une réaction allergique de la peau à une substance extérieure à l’organisme (un allergène). Il peut s’agir d’un produit cosmétique, d’un médicament à application cutanée, d’un pro- duit chimique présent sur un textile (restes de lessive, solvant industriel, etc.), ou encore d’un matériau utilisé dans les bijoux ou autres accessoires de mode. Dès que l’allergène est identifié et évité, l’eczéma de contact guérit en quelques jours. À l’inverse, l’eczéma atopique, tout comme le psoriasis, sont incurables.

Des mécanismes toujours à l’étude
Heureusement, les traitements progressent et permettent de diminuer considérablement les symptômes, afin que les patients retrouvent une bonne qualité de vie. Ils comprennent des traitements locaux (corticoïdes ou immunosuppresseurs), qui apaisent la réaction inflammatoire. Parallèlement, des émollients permettent de lutter contre la sécheresse de la peau. Des immunosuppresseurs peuvent également être prescrits par voie orale dans les cas les plus sévères. Les photothérapies, à base d’UVA ou d’UVB, sont efficaces, mais leur utilisation est limitée du fait du risque de cancers cutanés induit par l’exposition aux rayons. Les traitements les plus récents reposent sur des biothérapies, qui consistent en l’injection d’anticorps monoclonaux ciblant directement les molécules médiatrices de l’inflammation. Néanmoins, les recherches continuent pour mieux comprendre les mécanismes qui sous- tendent ces maladies, afin de développer des médicaments encore plus efficaces et mieux tolérés par les patients.

Photoprotection au-delà des UV

Le besoin de photoprotection est essentiel dans la lutte contre les cancers cutanés et dans la prévention du vieillissement prématuré de la peau (1). S’exposer souvent au soleil abîme les cellules de la peau et fragilise sa structure.

Un nouvel ennemi derrière les UV
Les effets néfastes du soleil sur la peau ont longtemps été uniquement attribués à une exposition chronique aux ultraviolets (UV) chez les phototypes les plus clairs. Cependant, les données les plus récentes révèlent que les UV ne seraient pas les seuls responsables de ces effets cutanés délétères, nais ce serait plutôt l’action combinée de plusieurs types de rayons du soleil, et quel que soit le phototype(2).

La lumière bleue : une menace reconnue pour la peau
Aujourd’hui, la lumière visible suscite également un intérêt croissant et soulève des préoccupations quant à sa possible implication dans le photo-vieillissement cutané. Parmi ces rayonnements, la lumière bleue à courte longueur d’onde, la plus proche des UV, est capable de pénétrer profondément dans la peau et provoquer un stress oxydatif important — un déséquilibre causé par un excès de radicaux libres, qui abîment les cellules et accélèrent le vieillissement de la peau — en plus de celui causé par les UV(3)(4).

Lumière bleue des écrans : moins dangereuse que celle du soleil
On entend souvent parler de la lumière bleue émise par des sources artificielles dotées de lampes à LED ou fluo-com- pactes telles que les écrans d’ordinateurs, les smartphones… mais la lumière bleue la plus néfaste est une lumière principale- ment émise par le soleil. L’intensité lumineuse du soleil peut être 1000 fois plus importante que celle des écrans et il faudrait passer 64 jours complets devant sa tablette digitale pour une exposition équivalente à une heure au soleil.

Pourquoi faut-il protéger sa peau de la lumière bleue à courte longueur d’onde du soleil ?

Avec la lumière bleue à courte longueur d’onde, on a découvert un nouvel ennemi de la peau, peut-être plus nocif encore que les UVA et UVB. En effet, environ 25%(5) des dommages cellulaires liés au soleil sont causés par la lumière bleue à courte longueur d’onde, qui pénètre profondément dans la peau. Ce rayonnement génère un stress oxydatif important, qui fragilise les cellules, accélère le vieillissement cutané et favorise l’apparition des rides, des taches pigmentaires, ainsi que la perte de fermeté et d’éclat de la peau. Il est donc indispensable de protéger sa peau contre la lumière bleue à courte longueur d’onde du soleil, afin de réduire les risques de cancers cutanés et de prévenir le vieillissement prématuré de la peau.

Appliquer quotidiennement une crème solaire est essentiel
Pour se protéger au mieux, il est important d’utiliser quotidiennement une crème solaire offrant une protection efficace contre les UVB, les UVA, ainsi que la lumière bleue à courte longueur d’onde. Il est également essentiel de renouveler régulière- ment l’application, toutes les deux heures, et après chaque baignade à la plage ou transpiration, afin de maintenir une protection optimale tout au long de la jour- née. Cette vigilance permet de limiter les dommages cutanés, de ralentir le vieillissement prématuré et de réduire les risques de cancers de la peau.

Sources :

(1) Leiter U, Keim U, Garbe C. Epidemiology of Skin Cancer: Update 2019. Adv Exp Med Biol. 2020;1268:123-139.
(2) Schütz R. Blue Light and the Skin. Curr Probl Derma- tol. 2021;55:354-373.
(3) Pourang A, Tisack A, Ezekwe N, et al. Effects of visible light on mechanisms of skin photoaging. Photodermatol Photoimmunol Photomed. 2022;38(3):191-196.
(4) Ramser A, Casey A. Blue Light and Skin Health. J Drugs Dermatol. 2022;21(9):962-966.
(5) Zastrow L, Groth N, Klein F et al. The Missing link – Light-induced (280-1, 600nm) Free Radical Formation in Human Skin. Skin Pharmacology and Physiology 2009; 22:31-44.

Duel au soleil

Le soleil, sans qui la vie sur terre ne serait tout simplement pas possible, est en même temps cause potentielle de dommages graves, voire mortels, à l’être humain. Comment gérer ce paradoxe ? Comment concilier bienfaits et méfaits de l’astre du jour ? Voici quelques éléments de réponse.

J’veux du soleil !
Oui, le soleil contribue à notre bien-être. La liste de ses effets bénéfiques a de quoi faire envie, d’ailleurs beaucoup en sont «addicts». Car l’exposition aux rayons solaires stimule bel et bien la production de plusieurs hormones du plaisir, dont la dopamine, la sérotonine, ou les endorphines. L’impact sur notre horloge biologique est également notable, tout comme, bien sûr, l’agréable sensation de chaleur. Des propriétés aux indéniables conséquences psychologiques positives, que vient encore renforcer l’effet «bonne mine» d’un teint légèrement hâlé. La fabrication de vitamine D par la peau est l’autre intérêt majeur de l’exposition au soleil. Sans rayons UV, pas de synthèse de vitamine D ! Or cette vitamine joue un rôle essentiel pour la santé des os, et est importante pour l’immunité, les muscles, le système cardio-vasculaire, entre autres.

Un soleil de plomb
Après avoir vanté les bienfaits de l’exposition au soleil, il y a lieu de rappeler sans tarder et avec insistance la face sombre du tableau. Les capacités de nuisance des rayons UV sont quasi illimitées. Ennemis jurés de la peau, ils agissent en surface (UVB) comme en profondeur (UVA), provoquant coups de soleil, vieillissement cutané prématuré, hyperpigmentation, allergie, ainsi que divers cancers à l’issue parfois fatale. Outre la peau, les yeux sont une cible sensible aux rayonnements UV, responsables selon l’OMS de 20 % des cas de cataracte dans le monde !

Préparer plutôt que réparer !
Quelques bons réflexes permettront de goûter aux délices de la saison estivale tout en épargnant à sa peau les effets destructeurs du soleil :

    • Préparer sa peau au soleil : l’exposition au soleil s’apparente à un combat inégal au cours duquel la peau doit essayer de résister aux offensives sans pitié des rayons UV. Pour cela, il est important de se présenter avec une peau «en pleine forme». Celle-ci doit avant tout être parfaitement hydratée, de l’intérieur par l’absorption quotidienne d’au minimum 1,5 litres d’eau, et de l’extérieur par l’application de lotions hydratantes. Un gommage quelques jours avant l’exposition aidera la peau à se débarrasser de ses cellules mortes. Veiller aussi à un apport suffisant d’antioxydants dans l’alimentation, ils s’opposeront aux radicaux libres agressifs générés par les UV. Les fruits et légumes de couleur orange, riches en bêta-carotène, sont à privilégier. En plus, ou à la place, envisager une cure de compléments alimentaires de préparation au soleil. Il faut enfin rappeler la dangerosité des solariums, et leur totale inutilité à prévenir les dégâts dus au soleil.

    • S’exposer progressivement et avec modération : le coup de soleil de début de saison est hélas un grand classique, qui ne se termine pas toujours par un «happy end». Sur le moment, les symptômes sont désagréables, mais disparaissent en quelques jours. En apparence, car des dommages plus profonds subsistent et s’accumulent au fil des agressions, chacune ayant le potentiel de dérégler les mécanismes de réparation cellulaire, et donc d’augmenter la probabilité que des cellules cancéreuses se développent. Les premières expositions doivent donc être de courte durée, un petit quart d’heure suffira amplement !, puis peuvent être prolongées petit à petit. Cette approche graduelle permet de réduire les risques en laissant le temps aux défenses naturelles, production de mélanine et épaississe- ment de la peau, de se mettre en place.

    • Respecter les règles de base en toute occasion: que l’on soit «débutant» ou déjà bien bronzé, aucun bain de soleil n’est anodin ! L’application d’une crème solaire de qualité à indice élevé ne souffre aucune exception. Tout comme le port d’un couvre-chef, de lunettes de soleil, et le repli à l’ombre entre 11h et 16h.

Dans la peau de bébé

Bien avant l’apparition des autres sens, dès le premier mois de grossesse pour être précis, le sens du toucher s’active pour transmettre au fœtus les premières informations du monde qui l’entoure. La peau continuera à jouer un rôle central dans le développement physique et psychique de l’enfant, et ce longtemps après la naissance. Fragile et sensible, l’organe du toucher est une cible vulnérable à toutes sortes de problèmes dermatologiques et nécessite des soins attentifs.

Peau de bébé et peau d’adulte : le grand écart
La peau de l’enfant et de l’adulte n’ont en commun qu’une structure identique, com- posée de trois couches : l’épiderme, le derme et l’hypoderme. Sinon, presque tout les différencie. L’épiderme d’un bébé est cinq fois plus fin que celui d’un adulte, et les cellules bien moins denses, plus espacées. La peau d’un bébé est donc plus perméable aux agressions microbiennes, mais aussi chimiques, et mécaniques (frottements par ex.). Les produits appliqués sont également concernés et une attention particulière doit être apportée à leur quantité et leur qualité. D’autant plus que, proportionnellement au poids, la surface de peau d’un bébé est deux à trois fois plus élevée que chez un adulte. Chez les tout-petits, les mécanismes d’autodéfense de la peau sont eux aussi immatures : la production de mélanine est largement insuffisante pour protéger contre les rayons UV, les glandes sébacées et sudoripares ne sont pas assez actives pour réguler l’hydratation, le pH peu acide de la peau est plus propice au développement de microbes.

Problèmes dermatologiques courants
Un virus, une bactérie, une allergie, une irritation, une réaction immunitaire, un déséquilibre, tout et rien peut déclencher une affection sur la peau si vulnérable des bébés et des enfants. La variété des symptômes n’est pas en reste, entre rougeurs, boutons, éruptions, pustules, vésicules, plaques et autres lésions, le diagnostic n’est pas toujours évident. Une consultation pédiatrique sur cinq est motivée par des problèmes dermatologiques. Parmi les plus fréquents, on trouve :

    • L’acné du nourrisson
      L’acné néonatale touche environ 20 % des bébés. L’exposition aux hormones de la mère pendant la grossesse semble en être la cause. Elle se manifeste par des petites boutons rouges ou blancs sur le visage, ne nécessite pas de traitement particulier et disparaît d’elle-même en quelques semaines.

    • L’eczéma (ou dermatite atopique)
      L’eczéma est l’une des affections cutanées les plus courantes chez les enfants. Prédis- position génétique et terrain allergique déclenchent une inflammation de la peau avec des taches rouges, sèches et prurigineuses. L’évolution est favorable avec des soins réguliers, mais peut durer plusieurs années

    • Les croûtes de lait (ou dermatite séborrhéique)
      Les croûtes de lait apparaissent principalement sur le cuir chevelu des nourrissons, dans les premiers mois. Elles se présentent sous forme de plaques brun-jaunâtres, grasses au toucher, qui adhèrent fortement à la peau. Les croûtes de lait n’ont rien à voir avec le lait, si ce n’est leur aspect rappelant des gouttes de lait séché, d’où elles tirent leur nom. C’est un excès de sébum, d’origine héréditaire ou hormonale, qui les provoque. Les croûtes ne doivent jamais être grattées ou arrachées, mais ramollies avec un corps gras pour qu’elles tombent d’elles-même lors du prochain shampooing.

    • L’impétigo
      L’impétigo est une infection bactérienne de la peau. Très contagieux, il touche souvent des jeunes enfants au sein de collectivités (crèches, école enfantine). Les vésicules qui apparaissent autour de la bouche et du nez, ainsi que sur les avant-bras. se transforment ensuite en croûtes ressemblant à du miel cristallisé. Sa prise en charge médicale doit être rapide pour éviter les complications et la transmission à d’autres enfants.

Des solutions en pharmacie

Si la plupart des problèmes dermato- logiques chez les bébés et les petits enfants sont bénins, il est toujours préférable de demander l’avis d’un professionnel de santé, médecin ou pharmacien. En parallèle, un trop grand nombre d’affections cutanées sont encore causées par l’utilisation de produits de soins inadaptés aux exigences de la peau d’un petit enfant, très différentes de celle d’un adulte.

Mustela, Alphanova, Pranarom, l’univers Autour de bébé de Pharmacie Populaire garantit aux parents des formules offrant une tolérance optimale, respectueuses de la peau des enfants, testées sous contrôle dermatologique et pédiatrique, hypoallergéniques.


 

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